Ici réside les deux maires ainsi que leur adjoint. Bien sur, elles n'y sont pas en permanences. C'est une mairie tout simplement, un grand bâtiment assez haut qui s'étend dans une grande place. Il y a un parking à côté, ainsi que quelques monuments qui représentent la ville. Le drapeau du pays flotte légèrement à chaque brise. L'intérieur y est frais et agréable, parsemé de différents bureaux eux-mêmes remplis de paperasse.

Une grande église siège au milieu de la petite ville. Elle possède une grande tour munie d'une cloche, qui ne sonne plus maintenant. Elle est décorée de nombreux vitraux multicolores représentant les mémoires de l'histoire. Autrefois, on sentait la sainteté partout en ces lieux, mais une bataille a détruit l'édifice à moitié. Désormais, quelques nombreux débris jonchent le sol, et la voute de l'église est trouée, laissant filtrer les rayons du soleil. L'atmosphère y est calme et poussiéreux.

Au bout d'une petite ruelle bien éclairée et toute faite de pavés gris, il y a une petite boutique assez farfelue. C'est une Quincaillerie ayant appartenu à un vieil homme fort sympathique. Il y vendait toutes sortes de bricoles, de la plus utile aux choses ridiculement inutiles. On peut y trouver quelques objets pratiques. Le magasin est petit et compressé dans l'ensemble, et tous les différents objets reposent sur des étagères branlantes. Rien ne coûte d'aller y jeter un coup d'oeil !

Au bout d'une petite ruelle bien éclairée et toute faite de pavés gris, il y a une petite boutique assez farfelue. C'est une Quincaillerie ayant appartenu à un vieil homme fort sympathique. Il y vendait toutes sortes de bricoles, de la plus utile aux choses ridiculement inutiles. On peut y trouver quelques objets pratiques. Le magasin est petit et compressé dans l'ensemble, et tous les différents objets reposent sur des étagères branlantes. Rien ne coûte d'aller y jeter un coup d'oeil !

Il y a un ancien supermarché ici. L'entrée n'est pas fermée, le magasin étant déjà ouvert au moment de l'évènement inexplicable. On y retrouve l'air frais et parfumé par les différents emballages de toutes les superettes. C'est l'endroit idéal pour les plus gourmands ! Les membres de Perdido Beach stockent leur nourriture ici. Enfin, ils viennent la chercher ici plutôt. De plus, finit les bons céréales chocolaté, les sachets de bonbons et toutes ces bonnes petites choses... La viandes et tout les produits frais on moisit, et depuis ils ne peuvent manger que des conserves.

Dans une petite rue verte et fleurie, on peut y trouver la garderie. L'endroit est très joliment décoré par des "fresques" contenant des petits animaux dessinés. Pour y pénétrer, vous devez traverser un parc très petit, et passer sur des ponts surplombant des bassins. Sur ces minuscules mares d'eau, il y a des nénuphars et des roseaux, ainsi que...De gros poissons rouges ! Des barrière ont été placées afin que les petits de moins de quatre ans ne tombent pas dedans. Après la disparition des "adultes", elle a été reprise par des adolescents.

C'est une grande allée bordée de maisons assez ressemblantes les autres. En plus simple, c'est un lotissement. Les bâtisses sont bien disposées, possédant chacune une petite cour bien aménagée. Les multitudes de fleurs plantées dans les jardins donnent un bel ensemble. Un panneau indique "Avenue des Fauvettes". On entend d'ailleurs souvent le chant des oiseaux. Un endroit agréable pour les promenade tranquilles sur les bords de la petite ville.

Au coeur de la ville se trouve bien évidemment...Un McDo ! Il fait partie de la zone commerciale, aux abords d'une route qui s'avance vers des boutiques de mode. Vous connaissez tous la présentation d'un McDo, je suppose. La nourriture y est très appréciée, mais n'exagérez pas, votre ligne en prendrait un coup, bien sur maintenant les stocks commencent à s'épuiser, et les hamburger se dont avec des bagels ou des gaufres...La responsable organise parfois des petites fêtes le soir, ce qui réjouit les membres de Perdido Beach. Durant ces petites soirées, on peut entendre différentes musiques et éclats de rire.

Après avoir gravi de nombreux escaliers et passé dans les longs couloirs sombres du Pensionnat Coates, on peut trouver une porte où est placée une petite plaque dorée, sur laquelle est gravé "Bureau du Directeur". C'était le lieu où l'ancien directeur recevait parfois des élèves turbulents pour leur donner une correction. Maintenant, c'est un adolescent qui a pris le relais, sans pour autant être "Directeur", mais "Chef". Le bureau est sobre, très design, fait d'un bois marron foncé ciré à de nombreuses reprises. Il y a également des étagères bourrées de papiers.

A l'entrée du Pensionnat, on y trouve une grande salle autrefois réservée aux surveillants de l'établissement. Ceux ayant des différents problèmes y venaient souvent, autrefois. Maintenant, les gardes des membres de Coates occupent la place. On n'est jamais à l'abri d'une éventuelle attaque, et ils semblent y faire attention. Au poste de garde, il y a quand même un petit distributeur, qui ne fournit que de l'eau malheureusement. Il y a également une petite table en bois entourée de chaises et un petit canapé de cuir marron, un peu abîmé par l'âge. Les gardes y sont presque constamment.

C'est la plus grande salle du Pensionnat Coates. Il y a une table très grande, de bois marron foncé, bien cirée. On y voit presque son reflet dedans. Elle est entouré de nombreuses chaises assez confortables. C'est là que le directeur avait ses réunions autrefois. Contre les murs, il y a de grandes étagères appuyées. Tous les anciens dossiers scolaires y sont méticuleusement classés, mieux vaut ne pas les faire tomber. Seuls les membres spéciaux son autorisés à assister aux réunions menées par le chef de Coates.

C'est l'ancien réfectoire du pensionnat. Les vivres sont quasiment épuisés, et les pensionnaires viennent prendre leurs maigres repas ici. Il y reste tellement peu de nourriture qu'il est même inutile de prendre un plateau. Il y a plusieurs tables longues entourées par des chaises toutes identiques. Il y a également de grandes fenêtres exposant le dehors, qui sont parfois recouvertes par de grands rideaux noirs et poussiéreux. L'endroit est sombre dans l'ensemble, et seuls les tables et chaises sont blancs. Il y avait une sorte de petit "bar" dans un coin, mais le barman n'est plus, et les boissons non plus. C'est une cantine plutôt mal accueillante, où les anciens pensionnaires prennent maintenant leurs maigres repas.

Cette salle, anciennement le hall, a été en grande partie détruite lors d'une bataille. C'est une salle spacieuse dans laquelle on entendait l'écho de nos pas et de nos voix autrefois. Anciennement le hall de l'établissement. Il y était affiché les dernières nouvelles et les résultats d'examens sur des panneaux de bois. L'endroit a été partiellement détruit par une bataille. Le toit laisse lui aussi filtrer les rayons du soleil, dévoilant à la lumière du jour des milliers de grains de poussière. Des débris, morceaux de pierre, jonchent le sol, formant des graviers crissant sous nos pas. Il n'y a plus aucun écho depuis sa destruction.

Un long corridor longe les nombreux dortoirs du pensionnat. Ce n'est pas très compliqué : à droite, le côté garçon, à gauche, le côté fille. Les portes sont toutes identiques, un parfait assemblage de clones. Le couloir est long et pourrait paraitre interminable. Les chambres sont toutes pareilles, elles aussi. A l'exception des couleurs : les dortoirs masculins sont marrons, et les féminins sont beiges. Il y a une fenêtre dans chaque chambre, avec des rideaux blancs. Il n'y a aucune chambre contenant deux lits, elles sont toutes individuelles.

Les anciennes salles de classe s'étendent sur deux étages, raccrochés par un escalier de bois lui aussi ciré. Les portes sont toutes identiques elles aussi, mais différentes de celles des dortoirs. Sur chaque porte, il y a un numéro, commençant au 001, et se terminant au 100. Le pensionnat était grand autrefois. Les classes sont presque toutes pareilles elles aussi, à l'exception des tables taguées différemment par les élèves qui s'ennuyaient. Le tableau est noir de charbon, les chaises et les tables marrons, et il y a deux fenêtres dans chaque salle, donnant un peu de clarté à l'endroit. Elles sont souvent recouvertes par de longs rideaux blancs.

C'est l'ancienne cuisine, ou plutôt l'ancienne réserve de nourritures. Ce qui est dommage, c'est que les vivres sont déjà quasiment épuisés. L'endroit ressemble fortement à une cuisine. En fait, il y a deux parties : Le garde-manger et la cuisine, séparées par une étagère de métal supportant le poids des outils. Oui, il y a des couteaux, des couperets, des mélangeurs, des casseroles...etc. Les étagères de bois contenant la nourriture son presque vide, il ne reste que du vieux pain. La partie cuisine contient des éviers et des gazinières. L'endroit est maintenant mal éclairé et très poussiéreux.

C'est une grande plage de sable...Normal, on va dire. Il n'y est pas spécialement fin, mais reste très doux. L'horizon n'offre ici qu'une immense mer bleutée, qui se teinte d'écarlate aux dernières lueurs du soleil. Il y a quelques entassements de rochers, dans lesquels se cachent des crabes.

Une très grande étendue vide, plate, jaune et marron. Quelques vilaines broussailles ont poussé sur ces terres arides, mais, manquant d'eau, elles ne deviennent que des brindilles sèchent qui craquent sous les pas. L'irrigation est très mauvaise, et le soleil cuit presque constamment la terre craquelée. La vie ici y est très pénible, et il est conseillé d'apporter beaucoup d'eau. Mieux vaut ne pas s'y aventurer en été !

Une vieille cabane trônant au milieu d'un petit carré d'herbe, dont le propriétaire prenait soin, maintenant jaunit. Il y a quelques arbres autour, ce qui procure un minimum d'ombre. La cabane est fait de vieux bois et de quelques briques. Malgré l'odeur désagréable de moisi qui y règne, c'est un endroit plutôt agréable. Il y a un petit banc, certes, pas très confortable, mais ça reste vivable. Un coin idéal pour les ermites !

Mieux vaut ne pas s'y aventurer, à vrai dire. La mine offre une entrée des plus lugubres, tel le portail d'Hadès nous menant aux enfers. L'endroit est noir, sombre, couvert de suie et de charbon sur chaque paroi. Le crissement des graviers se fait entendre sous nos pas, et l'air y reste constamment frais. L'odeur n'est pas des plus agréables. Le vent passant dans les différents conduits gémit souvent, et rappelle qu'une créature est tapie au fond de la mine. Il est fortement déconseillé de s'en approché, car on raconte qu'une bête étrange y habite...

Une ville. Vide, fantôme, comme le sont désormais toutes les cités, après la disparition des "adultes". Le vent passe entre les maisons, eux aussi dépourvues d'âmes. L'endroit garde maintenant une apparence lugubre, presque comme un cimetière. Néanmoins, la ville conserve quelques choses d'autrefois, elle reste un regroupement de blocs de bétons. Un endroit plutôt idéal pour ceux qui veulent être tranquilles, mais bien trop proche de la Mine et de son mystérieux habitant...

Une centrale anciennement nucléaire siège ici. Elle est partiellement détruite par la météorite qui s'est écrasée dessus il y a de ça quinze ans. Néanmoins, elle reste reconnaissable, un grand empilement de blocs de béton lisse. Il est brisé à de nombreux endroits, de tel que l'on peut apercevoir l'armature de ferraille cachée dans les matériaux solides. L'endroit est malveillant, rares sont ceux qui s'y aventurent. Fortement déconseillé. De plus, il y reste une petite partie radioactive.

C'est l'endroit qui parait le plus "normal" à vrai dire. Des champs de blé, d'avoine, d'orge, de tout ce que vous voudrez. En été, ils sont près à être récoltés, mais...Ne le sont plus. Il y a également quelques vergers cachés si vous cherchez bien, notamment des pommiers et des orangers. L'air y est frais, pur, un style assez campagnard ! Mais plus personnage n'y viens, la terre est sèche et les arbres ont perdu leurs fruits depuis longtemps..

Un grand hôtel de luxe, la plupart des chambres sont munis de mini-bars autrefois remplis de friandises, cacahuètes, barres de chocolats, bonbons, boissons et autres sucreries. Malheureusement, ils sont maintenant vides, les enfants aillant tout mangés. L'hôtel est aussi munis de vastes terrains de tennis, où il est maintenant impossible de jouer, car ils sont tous coupés en leur milieu par la grande parois. Il était autrefois pourvu d'une piscine, qui se trouve actuellement de l'autre côté du mur, à supposé qu'il y ai un autre côté...